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Telle une comète impérissable lancée dans un vol plané cosmique, la musique de Jowee Omicil est portée par un groove cosmopolite et attisée par des vents brûlants qui lui insufflent le blues vaudou et la transe funk. Quant au message de cette cérémonie sonore, il se concentre sur l'esprit du "BasH!", cet amour essentiel que rien ne pourra arrêter.

"Le nouveau Nigeria Soul Fever de Soul Jazz Records est la première compilation à explorer la richesse de la musique nigériane des années 1970. Entre Afro-Funk, Disco et Boogie tous droit venus du Nigeria, ce triple album/double CD réunit une collection étonnante de sons d'Afrique de l'Ouest. Alors qu'une petite poignée des artistes présentés a émergé en dehors de l'Afrique (Joni Haastrup, Tee Mac, Christy Essien), la majorité des titres provient d'artistes totalement inconnus en dehors du Nigeria, tels que Don Bruce & The Angels, Akin Richards & The Executives, Angela Starr ou encore Jimmy Sherry & The Music Agents. Ce n'est pas une surprise si ces enregistrements sont extrêmement rares et onéreux individuellement ; cet album vous évitera donc de faire faillite en essayant de les trouver. Ces titres furent enregistrés à un moment où les restrictions concernant le commerce Nigérien interdisaient l'importation d'albums. Alors que de nouvelles influences musicales venaient influencer le pays, comme la soul Américaine, le funk et le disco, la musique locale resta simplement... locale."

Daniil Trifonov entame le cycle des très virtuoses concertos pour piano de Serge Rachmaninov, enregistré avec Yannick Nézet-Séguin à la tête du Philadelphia Orchestra, orchestre étroitement associé avec le compositeur et sa musique. En effet, Rachmaninov lui-même avait enregistré ses concertos avec le Philadelphia Orchestra il y a plus de 80 ans. Départ, le premier volet du voyage intitulé, réunit les concertos n°2 et 4, aux côtés de transcriptions pour piano seul de la Partita en mi majeur de J.S. Bach.

Le "Tocororo" est un oiseau emblématique de l'île de Cuba, qui ne peut vivre qu'en liberté, et qui se laisse mourir si par malheur il se retrouve enfermé dans une cage. " It flies or it dies " déclare le jeune pianiste Alfredo Rodriguez. Pour son troisième album chez Mack Avenue, Alfredo Rodriguez explore ses souvenirs de Cuba, son peuple et sa culture ... l'album s'ouvre d'ailleurs avec une reprise de l'hymne " Chan Chan " immortalisé par Compay Segundo dans le Buena Vista Social Club. Mais il entreprend également un grand voyage musical au cours duquel ses racines musicales s'enrichissent de ses nombreuses rencontres aux quatre coins de la planète. " Je souhaitais véritablement m'ouvrir au monde pour cet album, tout en honorant mon héritage musical " déclare le Cubain. " C'est la raison pour laquelle on retrouve sur cet enregistrement des artistes d'autres nationalités et cultures. Ma musique reflète les expériences de ma vie quotidienne et aujourd'hui avec les réseaux sociaux et la technologie, les barrières et les frontières s'estompent. C'est un grand pas vers la liberté, vers la découverte, vers le partage. Les choses évoluent aussi dans mon pays, lentement mais surement ". Ainsi on retrouve tout au long des titres un casting de haut vol : Ibeyi, Ibrahim Maalouf, Richard Bona le tout sous la houlette de Quincy Jones qui coproduit une nouvelle fois l'enregistrement ! " J'ai énormément appris de Q, de sa grande culture et de sa philosophie de vie très fraternelle. Il est ouvert et généreux, n'impose jamais ses idées, mais aide les musiciens à trouver leur propre voie ". Les racines cubaines de Rodriguez sont profondes même si Bach est au programme (" Jesu, Que Ma Joie Demeure "), et qu'il y a plusieurs incursions en territoires flamenco, tango et africain.

Planetarium réunit les vocalises du grand Sufjan Stevens, les beats de James McAlister, les prouesses de Bryce Dessner (The National) à la guitare et les compositions minimalistes de Nico Muhly (Björk, Antony & The Johnsons). Puisant à la fois dans le rock odyssée, l'électro expérimental et la musique classique, le concept de Planetarium se base au tour de l'univers cosmique du lyrisme de Stevens : la mythologie, l'astrologie, la science, l'astronomie et la conscience de soi. Avec un titre par planète de notre système solaire, c'est même une véritable cosmogonie que propose le quatuor. Ce passionnant projet vit le jour lorsque la salle de concert Muziekgebouw à Eindhoven commissionna Muhly pour la création d'une nouvelle pièce. Ce dernier se tourna tout naturellement vers ses trois amis et collaborateurs pour imaginer une collaboration. Après avoir esquissé sa forme et joué la pièce dans son ensemble à travers plusieurs années. Jusqu'à ce que Stevens et McAlister reprennent le travail en inversant leur processus de création et adaptant leur performance live aux contraintes du studio, retravaillant la basse symphonique de Muhly et les guitares de Dessner en y ajoutant des beats et les paroles portées par la voix de Stevens. Longtemps attendue, la sortie de ce projet pharaonique met enfin à l'honneur cette oeuvre multiple et bouleversante par son ambition et sa justesse harmonieuse. Les envolées orchestrales, le songwriting toujours sophistiqué et la richesse instrumentale de Planetarium en font un album inclassable et d'autant plus indispensable.

Après le succès critique et public de The revolution... and the day after, il revient avec un album qui confirme sa position d'outsider de luxe du hip-hop et de la soul moderne. Le Californien de 25 ans déploie tout son talent de songwriter, de rappeur et de chanteur sur ce disque en hommage à la Great Black Music. On l'a comparé à D'Angelo et Q-Tip mais ici, Charles X s'émancipe de ces illustres prédécesseurs pour imposer un style unique, nourri au son de la Motown et au hip-hop des 90's.

Après le succès de son album "De l'opéra à la chanson", Natalie Dessay revient avec un double album consacré au répertoire baroque. Flamboyante Natalie Dessay, au sommet de la musique baroque durant 10 ans, principalement sous la direction d'Emmanuelle Haïm. Sa Cléopâtre ou son époustouflante Alcina de Haendel, J. S Bach et son sublime Magnificat, le célébrissime Forêts paisibles de Rameau... Encore une fois, Natalie Dessay magnifie tout ce qu'elle chante !

Pour la première fois de sa longue carrière, et alors qu'il est réputé pour ses interprétations mémorables des oeuvres de ce compositeur, Murray Perahia enregistre deux des plus célèbres et plus essentielles sonates pour piano de Beethoven. S'inscrivant ainsi dans la tradition des plus grands virtuoses du piano, il livre ici la quintessence de son art, pétri d'une technique irréprochable et constamment irriguée par une imagination et une éloquence quasi-mystique.

Cet enregistrement live inédit au Musikverein de Vienne datant du 31 mai 1971 a récemment été découvert dans les archives de la radio autrichienne ORF. Près de cinquante ans plus tard, cet enregistrement des Symphonies de Schubert nous permet de redécouvrir le maestro comme nous redécouvririons un Vermeer à chaque nouvelle lecture. La longue et vénérable association d'Abbado avec le Wiener Philharmoniker a commencé lorsqu'il a dirigé pour la première fois l'orchestre à l'invitation de Karajan en 1965. L'orchestre a été tellement impressionné par les réalisations du jeune directeur musical de La Scala qu'il l'a immédiatement invité à diriger l'un de ses concerts.

La légende de la musique Américaine, à l'avant-garde du mouvement des droits civiques dans les années 60 avec The Staples Singers. Mavis et ses proches manifestent et travaillent au côté de Martin Luther King Jr. sur le combat pour l'égalité aux Etats-Unis. En décembre 2016, elle se rend à Washington DC pour recevoir les convoités Honneurs du Centre Kennedy de la main de Barack Obama, avec qui elle entretient une amitié de longue date. Mavis invite Wilco et son ami Jeff Tweedy aux festivités, ils discutent et comparent la lutte pour l'égalité des années 60 à celle d'aujourd'hui. Inspirée par ces événements, Mavis et Jeff se retrouvent et écrivent ensemble cet album.

Les deux frères britanniques Rory et Eoin Loveless font partis de ces duos que l'on retient, à l'image des Whites Stripes ou encore des Black Keys. DRENGE voit le jour entre 2010 et 2011 et prévoyait déjà de faire du bruit sur la scène du rock garage, comme peut en témoigner leur 1er album éponyme. Aujourd'hui, ils sortent Undertow sur Infectious Music (alt-J, These New Puritans...), un condensé de testostérone qui fait gronder la guitare sur une batterie affutée. Le premier single de leur nouvel album " We Can Do What We Want " est un tube annoncé, rappelant l'énergie punk des 80's. Undertow a été écrit et enregistré durant leur dernière tournée, entre les Etats-Unis et leur maison natale proche de Manchester. Produit par le réputé Ross Orton (Arctic Monkeys, M.IA. , The Kills), le groupe a pour la première fois intégré une troisième personne au projet en faisant appel à Rob Graham pour jouer la basse sur trois morceaux ainsi que pour les accompagner sur scène. Précis et audacieux, Undertow parvient à nous replonger dans les meilleures années du Rock Garage tout en s'appropriant les sonorités d'aujourd'hui.

Découvrez la toute nouvelle collection de coffrets CD de comptines spécialement sélectionnées par des professionnels de la petite enfance. Le contenu a été revu pour correspondre au mieux à vos attentes ! 4ème volume de la nouvelle collection lancée par le label Eveil & Découvertes. Remasterisation complète de la collection "50" avec nouveaux visuels et nouveaux tracklistings. Ce coffret comprend 2 CD ainsi qu'un poster, avec les paroles des comptines. 50 comptines chantées ou formulettes et les 40 versions instrumentales des comptines.

Après le succès de Vivaldi - Pietà vendu à plus de 35000 exemplaires, devenant ainsi une des 3 meilleures ventes classiques de l'année 2014, Philippe Jaroussky revient avec un double album de 2 heures consacré à un des plus grands poètes français : Paul Verlaine et les compositeurs qui ont mis sa poésie en musique : Gabriel Fauré, Reynaldo Hahn, Claude Debussy bien sûr, mais aussi Léo Ferré, Charles Trenet et Georges Brassens. Philippe Jaroussky est entouré de Jérôme Ducros au piano, du Quatuor Ebène pour douze mélodies, et de Nathalie Stutzmann pour un duo. Sept ans après "Opium", voici un double album de 43 mélodies françaises débarrassé de toute "mauvaise tradition", qui nous livre un joyau de finesse et de poésie, où le texte prend toute sa valeur et redonne au genre ses lettres de noblesse.