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Nouvel album de ce pianiste aujourd'hui légendaire qui revisite à sa façon le blues, le boogie et le rock'n'roll. L'homme aux célèbres costumes excentriques a fait appel cette fois à Tom Lavin pour produire ce Rollin' with the Blues Boss sur lequel il a invité également Eric Bibb et Diunna Greenleaf

Les Teskey Brothers ont sollicité l'aide du producteur Paul Butler (Michael Kiwanuka, St Paul & The Broken Bones, Andrew Bird). Avec Paul, ils ont très vite trouvé le mentor dont ils avaient besoin, capable d'apporter une critique positive sur leur travail de façon à leur permettre de progresser sur un plan sonore sans pour autant leur faire perdre la simplicité brute et ce sens de l'espace qui avaient tant contribué à la réussite de Half Mile Harvest.

Après un album Haydn, la soprano Ruth Ziesak revient chez Capriccio avec un réctial Mahler, Alma Mahler et Zemlinski. Gustav Mahler tomba amoureux de la jeune Alma de 20 ans, en 1898. La liste d'admirateurs accumulée par Alma se lit comme un who's who de la vie intellectuelle de l'époque, notamment Alexander Zemlinsky qui fut enchanté par le charme éclatant de la jeune femme, et lui offrit un bouquet de mélodie, dont le cycle de l'opus 7 lui est dédié.

Le pianiste David Greilsammer a choisi deux mondes distants de deux siècles pour programme de son nouvel enregistrement. Domenico Scarlatti (1685- 1757), pour le dix-huitième siècle et John Cage (1912- 1992) pour le vingtième. Naturellement les deux répertoires s'opposent mais ils se complètent aussi. D'un côté la perfection immuable de la forme et la stabilité du langage avec Scarlatti, de l'autre l'innovation, la recherche grâce au piano préparé, de sonorités inédites au piano pour John Cage, et pourtant une appellation similaire 'sonates' pour unir les ouvre. David Greilsammer poursuit une carrière exceptionnelle qui le mène aux quatre coins du monde ; il est notamment l'interprète et le chef de l'Orchestre de Chambre de Genève, à la tête de laquelle il se produit notamment dans les Concertos de Mozart.

''She was a boy'' marque le retour de Yaël Naïm trois ans après son 1er album éponyme. Il contient 12 chansons entièrement composées en anglais.

Quatrième enregistrement en studio depuis la formation du groupe en 2010, Signs est un vrai travail collectif où chacun de ces immenses talents joue un rôle important. Cet opus présente le groupe au sommet de sa forme, alliant une musicalité créative à des textes provocateurs tout au long de ces onze titres originaux constituant une riche palette : hymnes soul édifiants, ballades douces-amères, le dynamisme du rock 'n' roll... Ce sont des chansons pour notre époque mais leur sonorité et leurs messages puisent dans la tradition ; et en même temps elles repoussent les contours de la musique américaine. Le résultat est une anthologie très personnelle qui défie les genres.

Rencontre entre écriture et improvisation, Silent walk est un projet audacieux inspiré des grands courants du jazz et des musiques écrites. A travers ces compositions, il explore les territoires communs entre le lyrisme issu des musiques classiques et le tempo issu du jazz et nous livre une vision très personnelle de la nouvelle musique instrumentale cross-over. Pour ce projet, le guitariste à réunit un collectif de musiciens époustouflants (Florent Pujuila, François Salque, Vincent Peirani, Diego Imbert) rompus à l'art d'utiliser plusieurs langages simultanément, de doser les matériaux mélodiques harmoniques et rythmiques au service d'une nouvelle esthétique.

Plus envoûtant que jamais, AuDen épanche sa sincérité écorchée et exulte en douceur à travers ce premier album. A l'instar de Raphaël ou Saez, AuDen possède une voix singulière et un sens aigu de la mélodie rêveuse et accrocheuse. Cet album, réalisé par Olivier Coursier, fédérera public indé et grand public

Dorantes est entouré par les meilleures voix actuelles du Flamenco : Enrique Morente, Carmen Linares, Esperanza Fernández, Arcangel, Miguel Poveda, Pedro Peaea, José Mercé, Noa... Moderne dans sa conception mais enraciné dans la tradition, ''Sin muros !'' est une synergie de cultures et de courants musicaux...

Toujours soucieux de s'engager aux côtés de jeunes musiciens talentueux dans le développement de leur carrière professionnelle, Outhere Music est depuis plusieurs années le partenaire du Concours International Musica Antiqua de Bruges et offre ainsi un enregistrement à l'un des lauréats. Lors de la finale 2014, son dévolu s'est arrêté sur le jeune flûtiste Jan Van Hoecke, qui a convaincu par son jeu expressif et sa palette sonore inventive et colorée. Interprète passionné et passionnant de la musique ancienne et baroque, le musicien nous propose une transcription pour flûtes à bec et clavecin ou pianoforte des Sonates en trio pour orgue BWV 525 et 527 à 530 de Jean-Sébastien Bach. Son talent est encore souligné par celui de Jovanka Marville - elle-même ancienne lauréate du concours. Avec une maîtrise certaine de leur art, toujours au service de la musique, ils vous invitent à un voyage captivant, et apportent un nouvel éclairage à ces chefs d'oeuvre du maître de Leipzig.

Brownswood est ravi de présenter le quatrième album studio de cette artiste qui repousse les limites de la musique jazz en explorant les traditions folkloriques et spirituelles de sa mère patrie ancestrale, la Jamaïque. Ce disque est une réflexion sur la reconstitution de l'héritage noir, où des histoires douloureuses et fières sont découvertes et liées au présent. En partenariat avec les producteurs cultes du sud de Londres Kwake Bass et Wu-lu, Zara a créé un palais sonore futuriste, recréant électroniquement les rythmes pulsants et hypnotiques Kumina et Nyabinghi - et la musique jouée lors de rituels enracinés africains comme la fête de l'émancipation Bruckins Party, et le rite de mort de Dinki Minki et Gerreh.

La réunion naturelle de ces deux surdoués de leur génération, camarades de conservatoire et comparses de toujours met en évidence la fluidité de leur chant. Ils virevoltent avec élégance dans un espace où la musique s'exprime sans apriori, dans un tempo où les émotions sont suspendues aux formes improvisées qui retiennent la composition ou se juxtaposent à celle-ci.

Lorsqu'ils se sont lancés dans la création de ce troisième album, Julien Ehrlich et Max Kakacek ont vite remarqué les différences dans leur son et dans leur écriture, les nouvelles boucles de batterie dynamiques, ou encore les lignes de clavier éclatantes. Ils sonnaient soudainement comme un groupe réinventé, leur folk-pop d'autrefois débordant maintenant d'un enthousiasme et d'un éclat sans précédent. Dans le studio que le duo de Chicago a construit dans leur maison de Portland, véritable refuge partagé en 2020 au milieu des ruptures et des confinements, Julien et Max ont décidé de redécouvrir leur son. Toutes les nuits entre minuit et l'aube, leurs cerveaux réfractés par l'heure tardive et les psychotropes légers, ils jouaient leurs dernières créations tandis qu'une boule disco tournait au-dessus de leurs têtes, des morceaux pop tellement plus immédiats et modernes qu'au début de leur carrière.